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donald trump - Page 4

  • Présidentielle USA 2016. Michael Bloomberg dénonce les démagogues

    Il s’est résolu à ne pas se présenter à l’élection présidentielle pour ne pas donner un avantage à Donald Trump et parce qu’Hillary Clinton sera la candidate du Parti démocrate.

    Mais cela n’empêche pas le centriste Michael Bloomberg de continuer son combat contre le populisme et la démagogie que représentent selon lui, et Donald Trump du côté républicain, et Bernie Sanders du côté démocrate.

    Ainsi, dans une tribune publiée sur «Bloomberg view», adaptée d’une adresse aux nouveaux diplômés de l’université du Michigan, l’ancien maire de New York estime que «Nous assistons à un changement inquiétant dans la nature de la politique américaine: une hausse de l'esprit partisan extrême et de l'intolérance sur d'autres points de vue.

     

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  • Trump est un danger pour la démocratie républicaine

    Donald Trump n’est pas encore le président des Etats-Unis et Bernie Sanders a peu de chances (mais il en a) de battre Hillary Clinton.

    Avant de dramatiser à l’extrême la situation, il faut attendre quelque peu.

    Néanmoins, ce qui se passe actuellement lors des primaires démocrates et surtout républicaines ne peut que susciter l’inquiétude de tous les démocrates, dont les centristes, sur le devenir de la démocratie républicaine aux Etats-Unis et, par contrecoup, dans toutes les démocraties républicaines, libérale et représentative du monde.

    Du côté républicain, donc, Donald Trump sera le candidat du parti à l’élection du 8 novembre prochain après sa victoire dans l’Indiana et la défaite cuisante de son principal adversaire, Ted Cruz, qui a décidé de «suspendre» sa campagne, prémices à un abandon pur et simple.

    Aucun démocrate responsable ne pleurera la défaite de Cruz qui était certainement un danger plus grand encore pour la démocratie américaine que Trump.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Clinton-Sanders, les deux Partis démocrates

    Il est faux de dire qu’il n’y a que deux partis politiques aux Etats-Unis.

    Il y en a autant, voire plus, que dans les autres démocraties.

    On trouve des partis communistes (dont le Communist party USA), des partis socialistes (dont le Socialist party USA), des partis centristes (comme le Modern whig party), un parti libertairien (Libertarian party), un parti écologiste (Green party), des partis d’extrême-droite et d’extrême-gauche comme le Socialist workers party ou le parti nazi, National socialist movement.

    Mais il est vrai que le Parti démocrate et le Parti républicain dominent outrageusement la vie politique étasunienne.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Clinton-Trump, la bataille des deux New York

    Comme le titre le New York Times, «Donald Trump et Hillary Clinton ont gagné facilement à New York», ce qui devrait les mener sans problème vers l’élection présidentielle.

    Les deux gros succès de Clinton (près de 58% des voix et plus de 63% pour la ville de New York) et de Trump (aux alentours de 60% des voix) aux primaires de cet Etat du Nord-est font d’eux, en effet, les grandissimes favoris pour représenter, l’une le Parti démocrate, l’autre le Parti républicain le 8 novembre prochain.

    Même s’ils étaient déjà largement en tête de la course dans leurs partis respectifs, les deux Newyorkais (Trump est né dans la ville et Clinton en a été la sénatrice) ont vu leurs positions confortées, non seulement arithmétiquement mais politiquement.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Le populiste Sanders menace encore la victoire de la centriste Clinton

    Les récentes victoires du socialiste populiste Sanders dans plusieurs Etats (petits et moyens), de l’Utah à l’Alaska en passant par l’Idaho, Washington et Hawaï, démontrent que la route pour la nomination de la centriste Hillary Clinton comme candidate du Parti démocrate n’est pas encore totalement sécurisée.

    Bien entendu, il faudrait pour que Sanders l’emporte, un retournement de situation encore improbable aujourd’hui avec des victoires nettes dans des grands Etats qui ne lui sont pas favorables a priori (New York, Californie, Pennsylvanie, Maryland, etc.) ainsi que le changement du soutien de la plupart des «grand délégués» du parti dont l’énorme majorité a pris position en faveur de Clinton et que Sanders n’a pas cessé de stigmatiser jusqu’à maintenant où il tente de les séduire...

    Mais dans une année électorale où les deux partis sont traversés en même temps – et c’est une première – par une forte vague populiste, tout peut encore survenir.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Le projet «centriste» des Pères fondateurs était d’éviter un Trump

    Les Pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique (dont les principaux sont John Adams, Benjamin Franklin, Alexander Hamilton, John Jay, Thomas Jefferson, James Madison, et George Washington), ces hommes qui ont inventé la démocratie républicaine américaine sont instrumentalisés depuis que le pays existe par tous ceux qui veulent leur faire dire ce qu’ils veulent faire croire qu’ils ont dit afin d’appuyer leurs propres idéologies.

    Car leur parole est souvent d’Evangile pour apprécier les soubassements de nombre de textes régissant la vie politique américaine, au premier rang desquels se trouvent évidement la Constitution ainsi que la Déclaration d’indépendance.

    On connait, parce qu’il est le plus médiatisé, ce fameux deuxième amendement (mesure donc rajoutée a posteriori) qui légitimerait selon certains le port d’arme dans le pays alors même que les Pères fondateurs, très méfiants à l’égard du peuple et de ses réactions passionnelles et irrationnelles, n’auraient jamais autorisé n’importe qui à se promener avec une arme, a fortiori celles qui circulent aujourd’hui.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. La démocratie du XXI° siècle au défi du populisme

    De Platon et Aristote aux Pères fondateurs des Etats-Unis (Jefferson, Adams, Hamilton) et au théoricien de la Révolution française, l’abbé Sieyès, en passant par Bodin et Hobbes, Locke et Montesquieu, les philosophes et penseurs politiques se méfient des passions populaires.

    C’est la raison pour laquelle ils se méfiaient corollairement de la démocratie, l’originale dont parle l’Antiquité grecque, celle où le peuple gouverne et décide directement, celui où il légifère et exécute en même temps.

    On pensait avoir trouvé la solution la plus sage avec la construction intellectuelle de la démocratie représentative, avec Sieyès, Kant et quelques autres dans une articulation où le vouloir et le pouvoir n’étaient pas interdépendants mais aussi, bien sûr, avec les débuts prometteurs de la république des Etats-Unis d’Amérique où les Pères fondateurs avaient imaginé un système où les pouvoirs se bloquaient entre eux afin d’éviter que la majorité ne devienne tyrannique afin de protéger la minorité, car la démocratie républicaine s’apprécie aussi et surtout à l’aune des droits de la minorité.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Sauf séisme politique, Hillary Clinton sera la candidate démocrate

    Bien sûr, elle n’a pas encore le nombre de délégués nécessaire pour remporter les primaires et, en cette année des populismes, Bernie Sanders peut encore créer la surprise mathématiquement parlant, mais, sauf séisme politique incroyable, la centriste Hillary Clinton sera la candidate démocrate le 8 novembre prochain, sans doute face à Donald Trump.

    Hier soir, lors d’un nouveau «super Tuesday», elle a remporté les cinq Etats en course dont, surtout, la Floride et l’Ohio mais aussi l’Illinois et la Caroline du Nord ainsi que le Missouri.

    Sa victoire en Floride a été impressionnante, surtout elle est due à la mobilisation en sa faveur de l’ensemble de l’électorat démocrate (les succès de Sanders ont souvent été dus aux votes des «independents» qui peuvent participer à certaines primaires et pas à d’autres) et des minorités.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Le centriste Bloomberg ne se présentera pas pour ne pas risquer l’élection de Trump ou Cruz

    Michael Bloomberg, centriste et ancien maire de New York, a officiellement renoncé à se présenter à la présidence des Etats-Unis le 8 novembre prochain en tant qu’indépendant.

    Le milliardaire qui a fait fortune en créant lui-même son empire de médias financiers, souhaitait depuis de nombreuses années concourir à la présidentielle.

    Déjà, en 2007, il avait mené des tests pour savoir s’il avait une chance de l’emporter.

    Même si cette année, à 74 ans, il avait moins d’appétence pour une campagne électorale, lui qui avait repris directement la direction de son entreprise l’année dernière, la volonté de barrer la route à la Maison blanche aux populistes Donald Trump et Bernie Sanders ou à l’extrémiste Ted Cruz lui avait fait envisager très sérieusement de se présenter.

    Il avait commencé à élaborer son plan de bataille, fait réaliser des études et des tests notamment au Texas et en Floride, choisi son équipe de campagne, trouver ses slogans et logos et même trouver son éventuel vice-président.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Hillary Clinton, «candidate de la raison», atout ou handicap?

    La célèbre émission humoristique de la télévision américaine «Saturday night live», SNL pour les intimes, diffusée sur NBC a réalisé un sketch ce samedi soir dans lequel un sosie d’Hillary Clinton déclarait aux électeurs américains que face aux populistes et extrémistes qui étaient à sa gauche (Bernie Sanders) et à sa droite (Donald Trump et Ted Cruz), ils étaient, malgré leur haine vis-à-vis d’elle, «coincés au centre» avec elle et leur souhaitait la «Bienvenue»!

    Voilà peut-être la principale chance de la candidate centriste en 2016 ou, peut-être, sa principale malchance!

     

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